Les zones érogènes désignent les parties du corps qui sont les plus sensibles aux caresses. L'homme et la femme présentent de nombreuses zones érogènes en commun, mais celles-ci sont plus sensibles chez la femme.

Les zones érogènes de base chez la femme

L’excitation sexuelle nait chez la femme de multiples manières. Certaines sont plus sensibles à l’ambiance romantique et aux paroles érotiques tandis que d’autres réagissent aux stimulations corporelles. Pour celles qui figurent dans cette deuxième catégorie, il y a des zones particulièrement sensibles qui peuvent conduire une femme d’une simple excitation à l’orgasme. Il s’agit des zones érogènes primaires, composées par le clitoris et le vagin. Extrêmement innervé, le clitoris est très sensible et le simple fait de le stimuler par des caresses et des mouvements circulaires suffit parfois à conduire une femme à la jouissance. Le vagin est une autre zone érogène de la femme, mais son niveau de sensibilité varie d’une femme à l’autre. Sa stimulation n’est pas non plus évidente. Dans certains cas, la contraction des muscles lors de la pénétration suffit à augmenter l’excitation. Dans d’autres, l’excitation n’est provoquée que par l’atteinte du fameux point G, qui se trouve à environ 6 cm de l’entrée du vagin.

Les zones érogènes secondaires de la femme

Contrairement à l’homme dont l’excitation peut décupler par la simple stimulation du pénis, la femme puise son plaisir dans les caresses et la stimulation de différentes parties de son corps. D’une manière générale, toutes les femmes sont sensibles à la caresse de leurs seins. Le degré de plaisir ressenti n’a rien à voir avec la taille des seins, mais plutôt avec le type de stimulation. Certaines femmes réagissent plus aux caresses tandis que d’autres sont particulièrement sensibles à la succion et aux mordillements. Les fesses, le pubis ainsi que les grandes et petites lèvres font également partie des zones érogènes secondaires de la femme qu’il est possible de stimuler par des caresses pour augmenter son plaisir. Combinée à l’excitation des zones érogènes primaires, la stimulation de ces parties sensibles décuple le plaisir de la femme.

Des zones secondaires potentielles chez une femme

Théoriquement, toutes les parties du corps qui sont riches en terminaisons nerveuses sont des zones érogènes potentielles. Pourtant dans la pratique, cela n’est pas aussi systématique. Chaque femme réagit différemment à la stimulation, et une zone sensible chez l’une peut ne pas l’être chez l’autre. Ainsi, une femme peut apprécier une caresse ou un souffle au niveau du cou tandis qu’une autre peut être plus sensible au mordillement de l’oreille ou à un massage des pieds. Une autre encore peut réagir positivement à une caresse dans le dos, au niveau du genou ou à l’intérieur de la cuisse. Ces zones secondaires potentielles ne conduisent pas à l’orgasme, mais jouent toutefois un rôle essentiel dans l’augmentation du désir lors de la phase des préliminaires. La bouche et plus particulièrement les lèvres, est aussi une zone érogène très sensible chez certaines femmes. Des baisers langoureux peuvent donc contribuer à augmenter le plaisir.

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