Les 10 phrases qui provoquent des disputes (toujours)
Elles sont gravées dans le marbre depuis les origines du langage. Certaines phrases sont comme des boîtes de Pandore, une fois prononcées, elles provoquent de véritables cataclysmes au sein d’un couple. On vous aura prévenus !
« Tu as tes règles, c'est ça ? »
Quand une femme est, de manière plus que légitime, en colère contre son conjoint, elle apprécie généralement très peu qu’il mette ses sentiments sur le compte de son cycle menstruel ou de ses hormones. Mieux vaut également éviter les « tu ne te sens pas bien ? » qui suggèrent que la personne en colère est irrationnelle, voire malade.À lire aussi : 10 astuces pour dissiper la douleur des règlesPUBLICITÉNetflix disponible chez FreeDécouvrez +Netflix Essentiel inclus avec Freebox Delta et One.Inspired by
« Tu étais tellement plus cool avant... »
Ce à quoi, on répond généralement : « et toi, tu étais moins chiant(e). » On a tous tendance à idéaliser l’autre au début d’une relation. Pour qu’un couple dure, il faut toutefois apprendre à accepter la personne avec ses qualités et ses défauts. Évitez donc de comparer votre conjoint réel avec le conjoint parfait qui n’existe que dans votre imagination.
« Je n'avais pas ce genre de problèmes avec mon ex. »
Entre tous les sujets de disputes à ne pas aborder, les ex sont probablement les pires. Non seulement vous rappelez à votre conjoint que plusieurs personnes sont passées là avant lui, mais c’est également déloyal. Si vous aimiez tant votre partenaire précédant, pourquoi ne pas être resté avec lui ? Votre partenaire actuel n’a pas à changer son comportement pour ressembler à un autre.
« Tu es certain(e) d'avoir toujours faim ? Je dis ça pour toi... »
La perle des phrases à ne pas dire. Même si vous avez une relation fusionnelle, chacun garde le monopole de son propre corps. Vous ne pouvez pas demander à une personne de se priver uniquement pour ressembler à votre idéal de beauté. Laissez donc votre conjoint choisir son alimentation et s’occuper de sa propre santé. Vous n’êtes pas son père ou sa mère.
« Tu as changé quelque chose à tes cheveux ? »
Quand vous n’avez rien fait à vos cheveux, ni au reste de votre apparence, il est des plus irritant d’entendre ce genre de remarque. Cela signifie non seulement que votre conjoint ne vous a pas bien regardé depuis longtemps, mais en plus qu’il vient juste de réaliser que vous n’êtes pas si moche que ça. Préférez plutôt un compliment qui ne laisse aucune place à interprétation, comme : « tu es toujours si élégant(e). »
« Ta mère est impossible ! »
Même si la mère de votre partenaire est réellement impossible, et que lui/elle-même en est tout à fait conscient, personne n’apprécie d’entendre dire du mal de ses parents. Contentez-vous donc de hocher de la tête quand votre conjoint se plaint de sa mère. Il n’appréciera pas que vous participiez à sa diatribe, le privilège lui revient de droit.
« Est-ce que tu vois quelqu’un d’autre ? »
Vous vous doutez bien que même si votre conjoint vous trompe vraiment, il ne va pas vous l’avouer. La question est non seulement inutile, mais elle vous donne également l’air paranoïaque. Le soupçon et la méfiance sont responsables de très nombreux problèmes de couple. Si vous avez un vrai doute, engagez un détective privé, dans le cas contraire n’accusez pas votre conjoint d’une infidélité qu’il n’a pas commise. C’est le meilleur moyen de le pousser à la commettre pour de vrai.
« Je n'ai pas le temps/envie »
Vivre en couple demande des concessions. Pour ne faire que ce qui vous chante, restez célibataire. Sinon, à vous de trouver du temps à accorder à votre conjoint, pour l’écouter ou sortir à deux.
« Ce soir, on mange encore des pâtes ? »
Si vous n’aimez pas la cuisine de votre partenaire, vous êtes libre de préparer vous-même les repas. Il n’y a rien de plus horripilant qu’une personne qui arrive juste à temps pour mettre les pieds sous la table, mais se plaint en plus du service.À lire aussi : Trouver des cours de cuisine pas chers
« Demande à ton père/ta mère. »
LA phrase à ne pas dire. Si vous n’êtes pas prêt à le faire vous-même, ne rejetez pas la corvée à votre conjoint. Non seulement c’est injuste pour votre partenaire, mais aussi pour votre enfant qui se retrouve pris à parti par ses parents.
